perche

Il avait une voix de silence un mutisme incessant

Des mots qui s'emportent au grés du firmament

Il lui chantait des "je t'aime"pour goûter sa peau

Mais dans le tourment elle ne pouvait croire au vent

Des envies de bôhemes fragrances tristes et blêmes

Sentiments étranges que son désir attise

De boire tous ces parfums comme un divin breuvage

Cependant la nuit elle rêvait toujours de lui

Deux coeurs qui s'unissent dans un rêve lointain

Mais ses yeux de velours le pleuraient chaque jours

Dans le froid insultant de ses mots blessants

De ces lettres qui s'emmêlent aux baisers dansants

En mille secondes de ces moments intances

Nous n'aurons plus le temps de laisser à l'amour

En ces robes qui courtisent nos désirs chaques jours



27/03/2009
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour